Le Parc de l’Arboretum, propose un cheminement de 3 kms à parcourir à pied, à vélo, une aire de street workout.

Améliorer la performance agronomique des sols, voici l’un des principaux enjeux pour ECT. La remise à l’agriculture est l’une des solutions proposées pour maintenir l’équilibre entre urbanisation et préservation des parcelles agricoles cultivées.

ECT est adhérent de l’Union Nationale des Exploitants de la Valorisation. Au travers de cette vidéo, le président Albert Zamuner met en perspective les filières représentées à l’UNEV. Et il rappelle l’action des adhérents, très mobilisés pendant la crise sanitaire, pour garantir la poursuite de l’activité du BTP et des collectivités.

Les terres accueillies sur nos sites sont utilisées pour réaliser des projets d’aménagement concertés, dans le strict respect de l’autorisation administrative. Découvrez en image, comment se déroulent les travaux qui façonnent ces nouveaux paysages et offrent de nouveaux lieux de loisirs, de sport ou d’agriculture.

Bernard Chevassus-au-Louis, président d’Humanité et Biodiversité : « Il faut penser plus largement, au niveau du territoire les aménagements pour accueillir les espèces, comprendre d’où il viennent et analyser l’environnement et les connexions à établir. Le tout est d  » envisager la biodiversité à l’échelle de tout un territoire ».

Bernard Chevassus-au-Louis, président d’Humanité et Biodiversité: « Pour notre association, la préservation de la biodiversité nous impose de prendre en considération les activités humaines et de faire en sorte qu’elles participent à préserver notre capital naturel. ». Les petits habitats font partie de cette richesse. On peut créer des habitats permettant de reconquérir les espaces naturels, en espérant que la biodiversité puisse s’y épanouir. L’’idée de « Proposer des opportunités à la biodiversité est ainsi un vrai pari».

Bernard Chevassus-au-Louis, président d’Humanité et Biodiversité: « Pour notre association la préservation et la reconquête de la biodiversité nous impose de prendre en considération les activités humaines et de faire en sorte que toutes activités participent à préserver notre capital naturel. L’humain fait partie de la biodiversité, il en dépend, il en profite et il en est responsable. Aussi, cette idée de recréer là où vivent les gens des espaces de nature dans lesquels ils pourront goûter, sentir, apprécier la biodiversité nous semble essentielle. »

Bernard Chevassus-au-Louis, président d’Humanité et Biodiversité: « L’envie de s’occuper de la nature est une expérience sensible, tout comme la capacité d’apprécier et de reconnaitre l’histoire d’une plante, d’un insecte ou d’un oiseau. C’est un enjeu pour développer la culture de la nature ». Tout le monde est légitime à définir les espaces « la Biodiversité, une expérience sensible, culturelle et sociale ».