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ECT transforme des sites sensibles, renature des friches, sécurise des carrières pour créer des parcs paysagers, des fermes urbaines, modeler des golfs, implanter des centrales photovoltaïques ou développer des projets de reboisement ou de remise en agriculture de terres.
Comment ? Par le réemploi des terres inertes excavées des chantiers d’Ile-de-France. ECT met ainsi en œuvre, sous couvert d’arrêtés préfectoraux ICPE/ISDI ou de permis d’aménager instruits par les services de l’Etat, environ treize millions de tonnes de déblais inertes par an.
Réemployer les terres inertes des chantiers du BTP permet à ECT de s’engager avec les Collectivités locales pour valoriser leur territoire, en développant des projets durables et concertés.
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L’apport de terres va permettre de financer la réalisation de ces aménagements, dans le cadre de projets durables, favorisant la biodiversité, en totale concertation avec les Collectivités.
Agir pour aménager les sites dénaturés, délaissés, ou dangereux devient possible car le projet n’est plus un coût pour la Collectivité, alors même que cette démarche de réemploi s’inscrit dans un principe d'économie circulaire.
ECT travaille en collaboration avec les grands acteurs de l’aménagement francilien : les maires d’Ile-de-France notamment au sein de l’AMIF Partenaires, les communautés de communes et d'agglomérations, les établissements publics d’aménagement, les directions déconcentrées de l’État, la SAFER ou encore l’École Nationale du Paysage de Versailles.
L'École Nationale Supérieure de Paysage de Versailles et ECT ont engagé un partenariat de long terme pour réfléchir aux nouveaux paysages créés par le réemploi des terres et par la richesse de ce matériau, déjà source de fertilité au Potager du roi de Versailles, crée par louis XIV et La Quintinie.
En 2017, dans le cadre d’un Atelier Pédagogique Régional, les étudiants de l’ENSP ont travaillé sur le projet autour de la Colline d’Élancourt qui doit accueillir les épreuves de cross-country des JO 2024, un projet pensé en 2 temps : l’épreuve des JO puis la pérennité d’un parc paysager urbain.